L’expert d’extrême droite français Zemmour cherche un siège parlementaire dans la circonscription de Saint-Tropez

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Eric Zemmour, expert de la télévision d’extrême droite devenu politicien, a déclaré jeudi qu’il briguerait un siège au parlement dans la circonscription fastueuse de Saint-Tropez, trois semaines après avoir échoué à la présidentielle.

L’homme de 63 ans, né à Paris, cherche à établir son nouveau parti, Reconquête, en tant que force politique nationale lors des élections législatives du mois prochain, mais devrait se débattre. « Je mènerai notre beau et grand combat aux côtés de nos 550 candidats », a écrit Zemmour sur Twitter, annonçant son intention de se présenter à Saint-Tropez sur la Côte d’Azur où il a enregistré l’un de ses meilleurs scores au niveau national lors de l’élection présidentielle du mois dernier.


Connu depuis longtemps comme un commentateur et écrivain aux opinions virulentes contre l’islam, Zemmour a lancé sa carrière politique à la fin de l’année dernière dans le but de renverser le président Emmanuel Macron. Il a été éliminé au premier tour des élections présidentielles d’avril avec un score de 7% et n’a depuis pas réussi à s’entendre avec la dirigeante d’extrême droite vétéran Marine Le Pen et son parti profondément enraciné du Rassemblement national.

Certains collaborateurs de Zemmour lui avaient conseillé de ne pas participer aux élections législatives de peur qu’une autre défaite ne ternisse définitivement sa carrière. La circonscription autour de Saint-Tropez, longtemps un pôle d’attraction pour les riches et célèbres, est considérée comme très contestée et est actuellement détenue par le parti Macron’s Republic on the Move, qui a été rebaptisé Renaissance. Macron a été réélu le 24 avril, battant Le Pen par un score de 59% à 41.

Zemmour a plusieurs condamnations pour discours de haine raciste, mais il a été innocenté d’un possible crime de négation de l’Holocauste jeudi. Une cour d’appel de Paris a confirmé un jugement antérieur en sa faveur au sujet de son point de vue selon lequel le dirigeant français de guerre Philippe Pétain, qui a collaboré avec le régime nazi, avait « sauvé » les Juifs français.

Cette affirmation est contestée par la plupart des historiens, qui soulignent l’antisémitisme bien documenté de Pétain, mais le tribunal a jugé que cela ne revenait pas à nier l’existence ou la gravité de l’Holocauste.

(AFP)



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