La Cour suprême italienne confirme la nullité de la décision sur le contrôle de Vivendi sur TIM

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MILAN, 25 janvier (Reuters) – La Cour suprême italienne a confirmé une décision qui avait annulé la résolution d’un régulateur du marché indiquant que le groupe de médias français Vivendi (VIV.PA) exerçait un « contrôle de facto » sur Telecom Italia (TIM) (TLIT.MI), un document judiciaire a montré mercredi.

L’organisme de surveillance du marché italien, la Consob, a jugé que Vivendi, le premier actionnaire de TIM avec une participation de 24%, avait pris le contrôle des deux tiers du conseil d’administration de la compagnie de téléphone italienne en 2017.

Le fonds activiste Elliott a finalement arraché le contrôle à Vivendi l’année suivante.

En 2020, le plus haut tribunal administratif italien a annulé la résolution de la Consob, qui a ensuite fait appel de cette décision.

Vivendi s’est refusé à tout commentaire. La Consob n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire.

La décision de la Cour suprême intervient alors que Vivendi appelle à des changements de gouvernance dans Telecom Italia pour mieux refléter le poids relatif des actionnaires.

La décision, publiée mardi, pourrait donner au groupe français la possibilité de présenter sa propre liste de candidats pour prendre le contrôle du conseil d’administration de TIM sans être obligé de consolider les comptes financiers de l’ancien monopole téléphonique, y compris sa dette de 25,5 milliards d’euros.

A l’heure actuelle, aucun représentant de Vivendi ne siège au conseil d’administration de TIM, après le départ du PDG du groupe français au début du mois.

En 2021, Vivendi et le prêteur public italien CDP ont tous deux soutenu une liste de candidats présentée par le conseil d’administration de TIM.

Le groupe français reprendra jeudi les pourparlers avec le gouvernement et le deuxième investisseur de Telecom Italia, CDP, sur une refonte de l’ancien monopole téléphonique centrée sur une répartition des actifs.

Les parties impliquées dans les pourparlers n’ont pas réussi à trouver un terrain d’entente sur des questions clés lors d’un premier cycle de négociations en décembre, les évaluations des actifs, la dette et les allocations de personnel restant des questions clés, ont indiqué des sources.

Reportage d’Elvira Pollina Montage par Bernadette Baum

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