Les rapports sur l’emploi de novembre détermineront si Wall Street recule face aux licenciements technologiques

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De nombreux restaurants ont continué à embaucher pour pallier les pénuries prolongées de personnel.  Ici, un restaurant Texas Roadhouse a un grand panneau « embauche en cours » accroché sur le côté de son bâtiment.

De nombreux restaurants ont continué à embaucher pour pallier les pénuries prolongées de personnel. Ici, un restaurant Texas Roadhouse a un grand panneau « embauche en cours » accroché sur le côté de son bâtiment.

PA

Novembre a été un mois froid pour l’emploi, relativement parlant, bien sûr.

Les employeurs n’ont ajouté que 263 000 nouveaux emplois. Il s’agit du rythme d’embauche le plus lent en près de deux ans. Il est important de noter qu’un mois avec 263 000 nouveaux emplois aurait été considéré comme un chiffre brûlant au cours de la décennie précédant le début de la pandémie de COVID-19 en mars 2020.

Selon Challenger, Gray et Christmas, les entreprises ont ralenti leur appétit pour l’embauche, tout en annonçant des milliers de licenciements prévus en novembre, menés par plus de 52 000 licenciements par des entreprises technologiques. C’est un sommet en 20 ans alors qu’un refroidissement s’installe pour le secteur de la technologie.

Décembre et janvier ont tendance à être des mois populaires pour annoncer des suppressions d’emplois. Les entreprises se précipitent pour établir un budget annuel ou en refaçonner un au début de l’année.

Les marchés de l’investissement prendront la température des dernières données sur l’emploi cette semaine.

L’enquête sur les offres d’emploi et le roulement de la main-d’œuvre, mieux connue sous son acronyme JOLTS, sera publiée mercredi. Comme d’autres lectures sur le marché du travail, c’est un indicateur retardé. Le rapport de cette semaine couvrira novembre, il est donc loin d’être une lecture en temps réel de la demande de main-d’œuvre. Néanmoins, le décompte des offres d’emploi et des licenciements donnera aux investisseurs une idée de la résilience du marché du travail.

Puis vendredi, le rapport sur l’emploi de décembre sort. Les données de l’employeur seront examinées à la recherche de preuves de la récente flambée des licenciements annoncés. Cela peut cependant être compensé par l’embauche de vacances, ce qui brouille l’image du marché du travail pour les investisseurs et la Réserve fédérale.

Moins de location alimentera des soucis récessionnistes. Pourtant, aucune récession depuis les années 1970 n’a commencé avec l’économie créant plus de 200 000 emplois chaque mois. Entre-temps, les augmentations de salaire des employés ont été stables, atteignant en moyenne plus de 5 % en 2022. Cela aide les consommateurs à lutter contre une inflation de 7 %, mais contribue également à alimenter une inflation de 7 %.

Les données sur l’emploi de cette semaine ne dissuaderont pas la Fed de poursuivre sa lutte contre l’inflation avec des taux d’intérêt plus élevés. Pourtant, les signes d’un resserrement de la masse salariale des employeurs inciteront à des appels à une pause prochaine dans les hausses de taux.

Tom Hudson est un journaliste financier à Washington, DC Il est directeur du contenu à la station de radio publique WAMU.



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