Les ouvriers utilisent des méthodes médiévales sur Notre-Dame

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Cela fait un peu plus de quatre ans qu’un incendie majeur a ravagé l’emblématique cathédrale française Notre-Dame de Paris, causant des dommages estimés à 865 millions de dollars à la majorité de son toit et de sa flèche reconnaissable. Depuis lors, le gouvernement français, des ingénieurs et un groupe d’autres experts en restauration dévoués ont travaillé d’arrache-pied pour reconstruire la merveille architecturale, qui devrait actuellement rouvrir au public d’ici la fin de 2024.

C’est un délai serré, et il serait beaucoup plus facile de le respecter si les charpentiers utilisaient la technologie et les techniques modernes pour réparer le bâtiment emblématique. Mais comme Nouvelles de l’AP expliqué plus tôt cette semaine, il est bien plus important d’utiliser les mêmes approches qui ont aidé à construire Notre-Dame pour la première fois, il y a plus de 800 ans. Selon la récente dépêche, les reconstructeurs utilisent consciemment des outils de l’époque médiévale tels que des haches à main, des maillets et des ciseaux pour reforger les centaines de tonnes de poutres de toiture en bois de chêne de la cathédrale.

Bien que cela progresserait plus rapidement avec l’utilisation d’équipements et de matériaux modernes, ce n’est pas le sujet. Au lieu de cela, il est éthiquement et artistiquement beaucoup plus impératif de rester fidèle à « cette cathédrale telle qu’elle a été construite au Moyen Âge », a expliqué Jean-Louis Georgelin, un général à la retraite des Français supervisant le projet.

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Heureusement, tout semble être en bonne voie pour la réouverture de décembre 2024. Le mois dernier, les surveillants ont mené avec succès un «essai à blanc» pour assembler et ériger de grandes sections de la charpente en bois dans un atelier de la vallée de la Loire, dans l’ouest de la France. La prochaine fois que les pièces seront assemblées, ce sera au sommet de la véritable cathédrale Notre-Dame.

Aussi rudimentaires que puissent sembler certaines de ces techniques de construction aujourd’hui, à l’époque elles étaient considérées comme extrêmement avancées. Plus tôt cette année, en fait, des chercheurs ont découvert que Notre-Dame était probablement la première cathédrale de style gothique à utiliser du fer pour lier ensemble des sections de maçonnerie.

Ce n’est pas tout le bricolage de la vieille école, cependant. L’équipe derrière la toiture reconstruite de Notre-Dame prévoit de transporter les composants massifs à Paris via des camions, puis de les mettre en place à l’aide d’une grande grue mécanique. Tout au long de ce processus, une analyse informatique détaillée a été utilisée pour s’assurer que les mesures des menuisiers et le travail artisanal étaient sur la bonne voie. Pourtant, la fusion de la technologie ancienne et moderne semble parfaitement se compléter, garantissant que lorsque Notre-Dame renaîtra enfin de ses cendres, au sens propre et figuré, elle sera plus étonnante que jamais.

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