L’échec du chef de la Fédération de football est total, selon le ministre français des Sports

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PARIS (Reuters) – Le président de la Fédération française de football, Noël Le Graet, qui fait l’objet d’une enquête judiciaire pour harcèlement moral et sexuel et a pris du recul face aux critiques sur sa gouvernance, a totalement manqué à son devoir de représentation de l’instance, a déclaré vendredi le ministre des Sports.

En début de semaine, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour harcèlement à l’encontre de Le Graet, qui a nié tout acte répréhensible.

Le joueur de 81 ans a également pris du recul en tant que chef de la FFF avec Philippe Diallo en charge par intérim, après que Le Graet a critiqué le grand français Zinedine Zidane et a été critiqué pour la prolongation du contrat de l’entraîneur Didier Deschamps jusqu’en 2026 – deux ans après l’expiration de son mandat.

Le comité exécutif de la fédération a voté contre la démission de Le Graet après l’ouverture de l’information judiciaire lundi, disant attendre les conclusions d’un audit diligenté par le ministère des Sports à la fin du mois.

« Les membres (du comité exécutif) ont décidé d’attendre les conclusions de l’audit de l’Inspection générale de l’éducation avant de prendre une décision plus définitive sur sa gouvernance », a déclaré Amélie Oudéa-Castera au journal La Dépêche du Midi.

« Les conclusions seront communiquées le 30 janvier. Ils auront alors la capacité, sur la base de documents, de prendre leur décision et de prendre leurs responsabilités.

« Le président a un devoir de représentation. Et à cet égard, l’échec de Noël Le Graët est total.

Le comité exécutif de la FFF n’a pas le pouvoir de révoquer le président. Seule l’Assemblée fédérale peut révoquer le comité exécutif et le président pour déclencher de nouvelles élections.

(Reportage par Julien Pretot; Montage par Toby Davis)

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