La puissance spatiale chinoise va construire des stations au sol en Antarctique pour soutenir les satellites

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BEIJING, 2 février (Reuters) – La Chine, troisième pays à envoyer un homme dans l’espace après l’Union soviétique et les Etats-Unis, va construire des stations terrestres en Antarctique pour soutenir son réseau de satellites de surveillance des océans, ont annoncé jeudi les médias officiels.

Le réseau mondial de stations au sol de la Chine pour soutenir un nombre croissant de satellites et d’ambitions spatiales a suscité l’inquiétude de certains pays quant à son utilisation à des fins d’espionnage, une suggestion que la Chine rejette.

En 2020, la société spatiale publique suédoise, qui avait fourni des stations au sol qui aidaient à piloter des engins spatiaux chinois et à transmettre des données, a refusé de renouveler des contrats avec la Chine ou d’accepter de nouvelles affaires chinoises en raison de « changements » géopolitiques.

China Aerospace Science and Technology Group Co. doit construire les stations de la base de recherche de Zhongshan, l’une des deux stations de recherche chinoises permanentes sur l’Antarctique, après avoir remporté l’appel d’offres avec son offre de 43,95 millions de yuans (6,53 millions de dollars), contrôlée par l’État China Space News signalé.

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Aucun détail technique du projet n’a été donné dans le rapport, bien que China Space News ait publié deux illustrations d’accompagnement d’un rendu d’artiste qui montre quatre stations au sol à Zhongshan, situées près de la baie de Prydz dans l’Antarctique oriental, au sud de l’océan Indien.

Le projet faisait partie d’initiatives plus larges visant à renforcer l’économie marine chinoise et à faire de la Chine une puissance marine, selon China Space News.

Une station au sol construite par la Chine en Patagonie argentine a suscité des inquiétudes quant à son objectif malgré l’assurance de la Chine que l’objectif de la station est l’observation pacifique de l’espace et les missions spatiales.

L’année dernière, l’amarrage d’un navire d’enquête militaire chinois, qui, selon les analystes, surveille les lancements de satellites, de roquettes et de missiles, au port de Hambantota, construit par la Chine au Sri Lanka, a suscité une forte opposition de l’Inde voisine, préoccupée par un éventuel espionnage.

La Chine a lancé en octobre le dernier des trois modules de sa station spatiale, qui est devenue le deuxième avant-poste habité en permanence en orbite terrestre basse après la Station spatiale internationale dirigée par la NASA.

Reportage de Ryan Woo; Montage par Nick Macfie

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