La disparition politique d’Eric Zemmour est un récit édifiant pour la droite française

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Mais peut-être avant tout, la chute de M. Zemmour est un récit édifiant sur la droite française et son incapacité à forger des alliances politiques plus larges.

L’électorat français est grossièrement divisé en trois factions politiques : la gauche, le centre compatible avec Macron et le camp nationaliste de droite.

Pourtant, après le premier tour des élections législatives de dimanche – le second tour aura lieu le 19 juin – les deux premiers sont sortis en tête.

Secoué par la perspective de ne pas obtenir la majorité absolue, l’alliance centriste Ensemble (Ensemble) d’Emmanuel Macron est désormais au coude à coude avec une nouvelle coalition hétéroclite Gauche-Verts dirigée par Jean-Luc Mélenchon.

L’ex-marxiste de 70 ans a réussi l’exploit surprenant d’unir son parti d’extrême gauche, anti-OTAN et anti-UE, France Insoumise (La France Insoumise), avec des communistes, des socialistes et des Verts.

Du jour au lendemain, cela a presque certainement transformé sa coalition Nupes en principale force d’opposition française et a même incité M. Melenchon, un formidable orateur et tacticien, à affirmer – de manière irréaliste – qu’il sera le prochain Premier ministre français.

Par rapport au centre et à la gauche, les camps divisés de la droite et des nationalistes se retrouvent avec à peine plus que des miettes parlementaires.

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