Actualités économiques, stratégie, finance et perspectives d’entreprise

[ad_1]

Malgré l’annonce d’un budget de rêve pour la classe salariée et la hausse record des dépenses d’infrastructure, le Nifty 50 a terminé dans le rouge avec une glissade de 46 points. Le mouvement décevant de l’indice Nifty 50 a dérouté les praticiens du marché qui suivent l’économie et l’analyse fondamentale avant d’investir.

Pour propulser le moteur de croissance de l’économie indienne en donnant un coup de pouce à la consommation et une forte impulsion aux dépenses d’infrastructure, le gouvernement a annoncé une forte augmentation de 33% des dépenses en capital tout en bonifiant la dalle fiscale pour les particuliers salariés. S’inspirant des points positifs du budget, Nifty a atteint un sommet de 17 972, mais en une heure, l’indice a plongé de 619 points par rapport au sommet de la journée. Pourquoi le marché a-t-il chuté un jour où le gouvernement a annoncé une série de mesures pour stimuler la consommation et les dépenses en capital ?

Certes, l’économie n’est qu’une pièce du puzzle du marché suivie par l’argent intelligent. Quels sont les autres éléments mobiles qui expliquent la chute de l’indice aujourd’hui pour les acteurs du marché ? Pour commencer, la composition de l’indice est une matrice clé qui est attentivement observée par l’argent intelligent.

Dans le budget d’aujourd’hui, il y avait une pléthore de nouvelles positives pour le secteur de la consommation et des infrastructures, mais certaines annonces pourraient poser un défi aux financières comme l’assurance et les NBFC dans les prochains jours. De plus, Bloomberg News a rapporté que le géant suisse de la finance, le Credit Suisse, a cessé d’accepter les obligations du groupe de sociétés Adani comme garantie pour les prêts sur marge à ses clients de la banque privée qui ont détruit Adani Enterprises et Adani Ports qui font partie de Nifty 50. Depuis que les banques indiennes ont plus de ₹ Une exposition de 81 000 crores au groupe Adani, les actions bancaires ont également ressenti la pression des mauvaises nouvelles au sein du groupe Adani.

Les actions financières qui comprennent les banques, les assurances, les NBFC et les sociétés de cartes sont la plus grande composante de Nifty avec un poids de 37,16 %. De plus, le poids des biens de consommation à rotation rapide, des biens de consommation durables et des automobiles qui reflètent l’histoire de la consommation indienne est respectivement de 8,58 %, 3,06 % et 5,51 %. Ainsi, le poids cumulé des secteurs qui représentent la consommation en Inde est d’environ 17 %.

Pendant ce temps, les secteurs qui peuvent bénéficier de dépenses d’investissement gouvernementales plus élevées comme la construction, les télécommunications, l’électricité et les matériaux de construction possèdent un poids de 3,02 %, 2,5 %, 1,91 % et 1,78 % respectivement dans l’indice Nifty 50. Ainsi, le poids cumulé des secteurs qui bénéficient d’un coup de pouce de la poussée des dépenses d’investissement du gouvernement est de 9,21 %.

De plus, le poids cumulé des entreprises qui reflète la consommation et les infrastructures est d’environ 26% de Nifty 50, soit près de 11% de moins que le secteur financier. Par conséquent, des nouvelles décevantes sur le secteur financier ont effrayé le marché malgré de bonnes nouvelles dans d’autres secteurs.

Fait intéressant, au cours des 15 dernières années, la composition du Nifty a radicalement changé, et cela a une incidence énorme sur la valorisation de l’indice. En 2005-2006, la majeure partie de la valeur de l’indice provenait de sociétés de la vieille économie à forte intensité de capital et à fort effet de levier. Ainsi, les dépenses en capital élevées du gouvernement servaient à propulser le marché.

Mais, aujourd’hui, les actifs corporels ont pris le pas et les financières axées sur les consommateurs axées sur les données, comme les compagnies d’assurance et de technologie de l’information, avec des actifs incorporels comme les ressources humaines et les technologies brevetées, sont au premier plan de l’indice.

En 2005, le secteur de l’énergie (avec une pondération de 25,1 %) était la plus grande composante du Nifty, tandis que les services financiers (avec une pondération de 14,7 %) étaient le troisième. En 2023, les deux secteurs ont échangé leurs positions. La finance (avec 37,16 % de poids) est désormais la composante la plus importante, tandis que l’énergie (12,99 %) est la troisième composante la plus importante du Nifty.

[ad_2]

Laisser un commentaire